La story dont vous êtes le héros

Cette story sera écrite par moi, mais aura la pour caractéristique d'être interactifs, c'est-à-dire que le déroulement dépendra des choix du lecteur ( c'est à dire vous).

À la fin de la lecture d'un paragraphe ,vous aurez le choix entre plusieurs possibilités, qui seront faites sous forme de sondage.

Bien sur je ne participerai pas aux votes.

Le sondage permet d'avoir 10 choix maximum, j'essaierai de ne pas en mettre autant ( )

La BDD dépendra de votre choix ( je prendrai le plus de clubs et nations que mon pc pourra supporter)

Le profil de l'entraineur :

Sébastien Copeland, Canadien, né à Montréal, parle l'anglais et le français.

Récapitulatif des sondages.

Sondage n°1 : Choix du contient: 2 participant = 100% pour l'Europe.

1.01- Pilote" Who is Sébastien Copeland "?

Copeland, Copeland, ce nom vous dit quelque chose ? Non je ne suis pas le fils de Stewart Armstrong Copeland, le célèbre batteur du groupe The Police, ni David Copeland un ancien nazi anglais de Londres qui posait des bombes là où il y avait des noirs, juifs, homosexuel ..., je suis un cousin éloigné d'Adam Copeland qui est plus connus sous le nom de Edge.
Ce dernier est un catcheur canadien, pour les connaisseurs , c'est un Heel, en quelque sorte le méchant sur le ring. C'est l'opposé du Face et il passe son temps à tricher pour forcer la foule à le huer ou a attaquer les face dans les vestiaires.....
Mon cousin a été 9 fois champion du monde et est à l'heure actuelle champion par équipe réunifiée, c'est à dire qu'il possède avec Chris Jéricho le World Tag Team Championship et le WWE Tag Team Championship.

Bref, je suis né au Canada, plus particulièrement au Québec, je parle donc couramment l'anglais et le Français.
Mon père est un milliardaire possédant des entreprises qui recherche des moyens; de lutter contre la pollution, de favoriser les énergies renouvelable....
J'entrerai dans les détails une autre fois...

Après avoir pas mal voyagé avec mon père, je me retrouve à habiter sur Lyon.

Il est 06H30, de mon portable résonne la douce musique du clip "The Game" de Motörhead.
Une fois douché, rasé et après avoir pris mon petit déjeuner, je prends mon cartable en cuir noir et je me dirige vers la station de métro Cuire.
Avant de monter dans le métro, je regarde le plan des lignes :
Prendre le métro C jusqu'à Hôtel de ville, prendre la ligne A en direction de Perrache, s'arrêter à Bellecour et de là prendre la ligne D en direction de gare de Vaise et descendre à Gorge de Loup.
Dans le métro, je cède ma place à une personne âgée et me met à repenser aux 12 dernières années :

« 1996, j'ai 20 ans et je viens de réussir mon bac pro d'hôtellerie.
Mon premier employeur est le patron d'un bouchon lyonnais, c'est un restaurant typique où l'on mange des spécialités, dont le tablier de sapeur, les quenelles, la salade lyonnaise, la cervelle de canut... Le tout est généralement arrosé d'un verre de Beaujolais ou de Côtes du Rhône.
A propos de cette cuisine local, un de mes auteurs préférés, Stendhal, l'évoquait comme ça :

« Je ne connais qu'une chose que l'on fasse très bien à Lyon, on y mange admirablement et, selon moi, mieux qu'à Paris. Les légumes surtout y sont divinement apprêtés. À Londres, j'ai appris que l'on cultive vingt-deux espèces de pommes de terre ; à Lyon, j'ai vu vingt-deux manières différentes de les apprêter et douze au moins de ces manières sont inconnues à Paris »

[.

Je ne suis resté que deux ans dans cette branche. Pourquoi ? Car un certain 12 juillet 1998, j'ai dû travailler le soir, tout ça parque un de mes collègue était sois disant malade. Mais j'appris quelques jours plus tard qu'il était en réalité en pleine forme, puisque je le vis dans un reportage montrant l'effervescence qu'il eut sur la plus belle avenue du monde... d'après les Parisiens.
Ce jour -là, je décidai de trouver un autre emploi qui me permettrait de pouvoir regarder mon sport préféré.: Le football.
Bien sur j'aurai pu rentrer dans les affaires familiale, mais tous cela ne m'intéressait guère.
Mon père n'était pas d'accord avançant comme argument que ce n'était pas facile et que je n'avais jamais joué au foot et que donc je me planterais.
Après bien d'autres discutions houleuses, je n'arrivais pas à convaincre mes parents.
Toutefois, le 16 janvier 2007, anniversaire de mes 31 ans, après qu'ils m'ont offerts un superbe écran plat et home-cinéma et que j'eus encore une fois l'opportunité de devenir le Directeur Général de la firme ; je leur dis qu'en septembre, je reprendrais mes études pour une période d'un an. Afin de devenir entraineur."

Tout à coup, une voix féminine réveil les voyageurs et moi-même de nos pensées : « Gorge de loup, garce SNCF et parc relais ».
Je me dirige donc vers la rue de la Fraternité, après avoir ajusté ma cravate et fumé la dernière latte de ma clope, je rentre dans la cour de cette école, qui forme les futurs entraineurs, gérants et présidents de différents sports professionnels.
J'entre donc dans la classe F1, (Foot et le 1 pour la section Entraîneur).
Après qu'une dizaine de nouveaux élèves ce soit présenté, vient mon tour :
« Bonjour, je me présente Sébastien Copeland, j'ai 31 ans, j'ai fait quelques petits boulots avant savoir ce que je voulais faire, maintenant je le sais, devenir l'un des plus grands entraîneurs français... ».

En juillet 2008, je viens d'avoir mon diplôme en ayant eu la moyenne. Je reçu plusieurs offre d'emplois où j'avais le choix entre devenir tout de suite entraineur ou devenir adjoint.

A vous de choisir le club!